Quand le coeur se soulève
Cents rèves il se lamente
Quand pas un maux un seul ne s'élève
L'écoeurement les lèvres mentent.
Pris à la gorge par les affreux
il affronta tous les affronts
Sans s'affranchir des affres venimeux
Il franchit les afflictions sans fond.
Colère! A quoi bon! Le lin rongea la trachée
Salaison sur la plaie, sales saisons
Amère lie-de-vin sur la tranchée.
Dépouille dénudée, dénuée, sans illusion
Ecoeurée sous un linceul, si lasse ici écorchée
Qu'on dise une seule des raisons...
... de cette pendaison.