Gling! Gling! Gling! Lutin de l'espace plane sur les fuseaux horaires, il fuse eau! or! air! les grelots tintinnabulent, minuscules bidules récapitulent ça se bouscule sous la capsule. Gling! Giling! sir lutin aspire l'air, gonfle la poitrine, ronfle, ouvre grandement les narines... à géantes bouffées de co2 sa bobine à bonne mine, peu pantomime il s'arrime aux rimes sublimes, subliminales agitent le bocal. Gling! lutin de l'espace file, défile, ventile, s'accroche sans anicroche, lutin magique s'en va décrocher la lune, panoplie spatiale, espace onirique, lutin est fantastique! Lutine cristalline est mirifique! Et le rêve est nécessaire pour que ne cesse l'air... Gling! Gling! Gling!
Si jamais se tarissait la source à cette heure,
Qu'à sa naissance l'eau claire s'écoule avec peur,
Que la mousse sur la roche brunisse et meurt..
Si jamais mourrait l'arbre au bord de la rivière,
Que ses branches immenses se figent tel le lierre,
Que ses racines profondes durcissent dans la pierre.
Si jamais se taisait la forêt en deuil,
Que plus rien ne vive l'harmonie face aux écueils,
Qu'à bout de force le vent ne lisse plus les feuilles.
Si jamais s'assombrissait le ciel, cils de la Déesse,
Que du vide céleste disparaisse l'allégresse,
Qu'alors les larmes, armes du bien, puisent dans la tristesse.
Et si jamais périssaient les gardiens éternels par les traîtres,
Que le bois solide de leurs lances se brise à coups traîtres,
Que les poignards, de derrière, frappent vils et traîtres...
A Eastwick, 3 femmes belles, jeunes, seules, s'ennuient à dépérir : Alexandra, Jane et Sukie rêvent de l'homme idéal qui viendra combler leurs nuits. Comme pour répondre à leurs souhaits débarque Darryl Van Horme : il est très riche, pas vraiment beau, mystérieux et va séduire les trois jeunes femmes avec une aisance diabolique. Dans la bourgade au passé chargé en faits de sorcellerie, la vie prend alors une tournure très particulière.
En 1987, George Miller connaissait un de ses plus gros succès publics avec Les Sorcières d’Eastwick (souvenez-vous : Michelle Pfeiffer , Susan Sarandon et Cher y fricotaient avec Jack Nicholson dans le rôle de Satan). A voir absolument!
"Les sorcières ont de satanique ce que les fées ont d'angélique"
1. BALDWIIN le 22-02-2010 à 10:48:44 (site)
bonjour petit lutin je l'ai vu ce film et je l'ai bien aimer c'est un bon moment de détente .je te souhaite un trés bon début de semaine .gros bisous
Lèvres contre terre la ronce me domine
1. BALDWIIN le 21-02-2010 à 20:45:34 (site)
bonsoir petit lutin toujours de trés belles rimes ,je viens te souhaiter une bonne fin de week-end .gros bisous
2. freedolphin le 22-02-2010 à 17:28:57
Bonsoir, merci de ton passage dans ma vitrine, sous la feutrine là où on devine un peu de bruine, bon allez j'arrete je te taquine, ça doit etre la caféine..... en fait je voulais juste te dire merci de ta visite et il est tres bien ton petit blog.... freedolphin (e)
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